Les travaux menés ont permis : (i) d’améliorer les connaissances sur la diversité des plantes et champignons ainsi que leurs différents usages (médicinal, lutte biologique, alimentaire, ornemental…) ; (ii) comprendre la dynamique forestière post-exploitation à travers des études démographiques et des analyses spatiales (thèses de Denis Beina, Olivia Semboli, Arnot Koplita, financées par le Service de la Coopération et d’Action Culturelle). Ces études contribuent à la bonne réussite des activités du collectif DYNAFAC.
C'est à travers ses programmes de recherche que le LBVF apporte sa contribution à la réussite de l’initiative DYNAFAC